Un petit texte d'Etienne au sortir de sa première Garden Party (la 4éme CGP), il était un peu euphorique et ma modestie en prend un coup!
(Lundi 15ème de juillet, de l'année 2002)
Ce que Gauthier veut, dieu le veut ! alors toutes affaires cessantes voici encore fraiches quelques impressions... LIVE
...Whâôô!!! Les 14 juillets de Gauthier ...
En tout premier lieu, Il y a... le "Before" de ce charmant 14 juillet, où chacun s'affaire aux fourneaux ou autres arrangements de la dernière minute; les regards qui pétillent bien avant le champagne,Voici maintenant le "Grand moment" ;
Attention ! Roulements des tambours !
L'arrivée de chacun, (Oh! Portier ! fait ton office ! devinez qui...)
Voici venu le plaisir des sourires, anciens et nouveaux compagnons, amitiés retrouvées, complicités forgées, les âges se fondent à la chaleur des propos et aux saveurs des bons vins.
C'est alors que les coeurs figent le temps ; Et Qu'importe le soleil : Oh! astre boudeur ! qu'as-tu donc manqué là en croyant sage de ne point paraître ! Certes tu attendais la danse ! Et bien reste donc caché ! Et nous, chantons maintenant ce 14 juillet que notre ami Gauthier à créé à Noisiel, au coeur de la douce île de France et.... fort encouragé par Sa Sérénissime Majesté Jacques qui a omis de se présenter, retenu (semble- t-il) aux champs, sous le poids des travaux de la terre Elysée, et des tirs d'artillerie légère ; mais quel passe temps (absolument vulgaire!) qui prouve une ToTâle méconnaissance des 14 juillets de Gauthier, défaut rédhibitoire (en est-il de pire !) d'un esprit encore fort incomplet. Mais maintenant,... La route est balisée, et... au juste instant du "waël_programme", après savantes préparations, la table se couvre de mets succulents où le reflets des bouteilles remplace l'astre en défaut !
Musique !! Encore Musique !!
Que chacun se régale, d'humanité totale,
Buvant chaque seconde, en recréant le monde,
Sachant cueillir l'instant, retenir le moment,
Moment tant attendu, journée faite pour aimer,
De notre ami Gauthier le quatorze juillet.
Lors viennent les pas de danse, saisissant l'existence,
Un bonheur de vacance, que Gauthier nous dispense ;
Jusqu'au soir le sourire et les tendres délires...
Il y a enfin l'After ! ...
En une telle lancée, que la fête continue !
Le quatorze s'échappe, le quinze sera promu,
Et tant d'autres beaux jours, aux saveurs de l'été,
que sait nous amener l'amitié de Gauthier.
Alors un grand Merci, et que l'année prochaine
Effaçant ses soucis, chacun de nous ramène
La tendresse infinie des amis réunis,
De Noisiel à Paris, au travers du pays.
Je n'en dirai guère plus ce soir, la nuit ayant été bien courte, et le
chemin si long quittant mes compagnons.